L’approvisionnement de la restauration collective en produits sous signes de qualité et d’origine devrait théoriquement connaître une croissance significative au second semestre 2021 pour se conformer à la loi EGalim. Théoriquement seulement, car le comportement des acteurs du secteur reste largement tributaire de l’actualité épidémiologique.
Rappelons qu’à partir du 1er janvier 2022, les services de restauration scolaire et universitaire, les services de restauration des établissements d’accueil des enfants de moins de 6 ans, des établissements de santé, des structures sociales et médico-sociales et des établissements pénitentiaires dont elles ont la charge, devront proposer au moins 50 % de produits de qualité et durables, dont au moins 20 % de produits biologiques. Dans un contexte « turbulent », quel est le rôle de la restauration collective dans la transition agroalimentaire ?
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