Qu’elle soit présentée rôtie, en sauce, panée ou en beignet, la viande de volaille rencontre toujours un vif succès auprès des Français. Cet intérêt devrait se consolider avec la dernière révision des repères nutritionnels pour les adultes dans le cadre de la tranche 2017 – 2021 du Programme National Nutrition Santé (PNNS) qui abonde dans le sens de la réduction de la consommation carnée hors volaille. En pourcentage, la volaille est amenée à davantage capter les envies de viande en restauration hors domicile.
La volaille au cœur du PNNS IV
Lutter contre l’obésité et prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète, le cancer et l’ostéoporose en améliorant l’état nutritionnel de la population, c’est l’ambitieux défi que relève le PNNS depuis son lancement, en 2001. La nutrition, au même titre que l’exercice, est ici perçue comme un facteur de protection, notamment contre les cancers et les maladies cardiovasculaires, responsables de plus de 55% des décès annuels en France. Axé autour de 9 repères, le PNNS accorde une place centrale à la volaille… encore plus après la révision des recommandations par le Haut conseil de la santé publique (HCSP) pour la 4e mouture du programme. Pour le professionnel de la restauration commerciale ou collective, ces réajustements, qui bénéficient de campagnes de communication importantes via l’agence Santé publique France, livrent des indications sur l’évolution des habitudes de consommation des clients et convives en « type » mais aussi en volume, car la volaille est amenée à capter davantage les envies de viande. Voici une synthèse des révisions PNNS IV :
- Encourager une consommation renforcée de légumineuses (haricots, lentilles, fèves, pois…) ;
- Favoriser les produits céréaliers les moins raffinés ;
- Consommer une poignée de fruits à coque sans sel ajouté par jour (amandes, noix, pistaches, noisettes) ;
- Encourager la consommation d’huiles végétales riches en acide gras alpha-linolénique (un oméga-3 que l’on retrouve notamment dans les huiles de colza ou de noix) ;
- Les jus de fruit sont désormais considérés comme des « boissons sucrées » : le PNNS IV conseille de se limiter à un verre par jour ;
- Réduire la consommation des viandes rouges (se limiter à 500 g de viande rouge par semaine) ;
- Réduire la consommation de charcuterie : ne pas dépasser (25 g par jour) ;
- Privilégier la volaille.
Il faut dire que le profil nutritionnel de la volaille est particulièrement intéressant pour une alimentation saine et équilibrée. Comparons :
| Poulet rôti sans peau (100 g) | Bœuf haché à point (100 g) |
Protéines | 28,93 g | 24,07 g |
Lipides | 7,41 g | 20,69 g |
Glucides | 0,00 g | 0,00 g |
Calories | 190 kCal | 289 kCal |
Le poulet pour une alimentation saine et équilibrée, traçable et goûteuse
Riche en protéines, en acides aminés, en vitamines (notamment du groupe B), en oligoéléments (avec 3 fois plus de fer que le poisson), le poulet est peu gras et présente un risque allergène faible, ce qui en fait un élément de choix dans l’élaboration des menus pour enfant en restauration collective. Le poulet est d’ailleurs recommandé par l’INPES dans l’élaboration de sandwich avec du pain complet et des légumes (tomate, salade…), suivi d’une compote, pour un repas « sur le pouce » équilibré à destination des enfants et adolescents.
C’est également une belle source de protéines et d’oligoéléments, nutriments essentiels dans la prévention de l’ostéoporose en maison de retraite et en EHPAD. A son profil nutritionnel s’ajoute sa polyvalence en cuisine. Le chef pourra passer du poulet rôti au poulet basquaise, du wok avec légumes au colombo, du braisé aux carottes, au poulet en blanquette, du pistou au curry, du cupcake poulet au samossa.
Selon l’étude Harris interactive réalisée auprès de 1 000 Français, les critères de choix du poulet sont l’absence d’OGM (53%) et d’antibiotiques (49%) et le respect du bien-être animal (48%).
Le poulet La Nouvelle Agriculture® répond à ces points précis en proposant aux chefs plusieurs références de découpes calibrées pour répondre aux exigences de la restauration commerciale et collective et du GEMRCN, notamment.
Non traité aux antibiotiques, nourri selon le cahier des charges Bleu-Blanc-Cœur et garanti sans OGM (<0,9%) avec 65% de céréales françaises, élevé avec la prise en compte du comportement naturel, le poulet La Nouvelle Agriculture® s’inscrit dans l’exigence de l’alimentation saine, traçable et goûteuse voulue par le consommateur.